Archives mensuelles : juillet 2015

Le théorème zéro de Terry Gilliam : QOHEN LETH = COHEN + QOHELETH

L'obscurité

De nouveau je ne suis pas d’accord du tout avec ceux, assez nombreux, qui enfoncent le film:

http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/06/24/zero-theorem-un-retour-aux-sources-rate-pour-terry-gilliam_4443326_3246.html

lente et triste agonie artistique ? Quel excès !

Mais le pire est L’express:

http://www.lexpress.fr/culture/cinema/zero-theorem-egale-la-tete-a-toto_1553980.html

Je ne dis pas que c’est le film du siècle, ni même le meilleur film de Terry Gilliam mais de là à dire que le film vaut zéro…

Je ne comprends pas non plus ceux qui trouvent le scénario déconcertant ou incompréhensible, c’est très clair au contraire et pas vraiment original, mis à part qu’il s’agit de science fiction mais dont on observe les prémisses aujourd’hui dans ce que l’on appelle « réalité virtuelle »

Le sens de l’histoire est inscrit, ce que personne ne semble avoir remarqué (il est vrai qu’il n’est pas nécessaire d’être hébraïsant pour être critique cinématographique), dans le nom même du personnage principal joué par Christophe Waltz:

QOHEN LETH

(nom important puisqu’il est toujours…

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Une notion fondamentale : l’adjonction

HENOSOPHIA τοποσοφια μαθεσις υνι√ερσαλις οντοποσοφια

dans un précédent article:

https://mathesisuniversalis.wordpress.com/2015/06/24/morphismes-geometriques-et-2-categorie-topos-des-topoi-comme-cadre-general-de-nos-travaux/

nous avons vu, à titre d’hypothèse bien sûr, comme c’est le caractère (spéculatif) de tout ce qui est développé ici, que le schéma fondamental de ce que nous appelons μαθεσις uni√ersalis οντοποσοφια pourrait être représenté par ce que l’on appelle un morphisme géométrique entre deux topoi, c’est à dire une paire de foncteurs adjoints entre deux topoi:

U. : E —————-> S

où le topos E , généralement la catégorie Ens des ensembles, jouerait le rôle de ce que Wronski appelle dans sa philosophie élément-être, le topos S correspondrait à l’élément-savoir, le plan de l’idée, et le morphisme à l’élément-neutre qui « unifie » être et savoir.
Nous voyons donc que pour poursuivre, il faut étudier à fond la notion d’adjonction, qui est cruciale en mathématiques et en théorie des catégories.

Or cela demande une compréhension plus que formelle, comme c’est souvent le cas en mathématiques, pour…

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